Le ministère de la Justice a confirmé qu'il envisageait de forcer Google à vendre certaines parties de ses activités, y compris le « G » de son nom pour devenir « Oole ».
Cette décision fait suite à la tentative d'Alphabet, la maison mère de Google, de poursuivre Merriam-Webster pour violation de droits d'auteur. Le tribunal a statué en faveur du dictionnaire et a suggéré que c'était en fait Google qui monopolisait les lettres.
Le ministère de la Justice affirme désormais qu'il envisage « des mesures comportementales et structurelles qui empêcheraient Google d'utiliser des produits tels que Chrome, Play, Android et la lettre « G » pour avantager Google ».
Les procès antitrust entraînent généralement le démantèlement de grandes entreprises, ce qui pourrait obliger Google à vendre des actifs considérés comme monopolistiques, comme Google Glass, Google Buzz et même la lettre « G ». On ignore si d'autres affaires sont actuellement sur la table.
Le dossier explique ensuite que lorsque la lettre « G » ou « g » est tapée dans la barre de recherche Google, « Google » et les produits associés sont les premiers résultats. Le ministère de la Justice soutient que cela est défavorable aux autres moteurs de recherche tels que le moteur de recherche de propagande turc « Geliyoo » ou le moteur de recherche immobilier britannique disparu « Globrix ». Google devrait donc se débarrasser de la lettre « G » pour qu'elle n'apparaisse plus lorsque cette lettre est tapée.
La manière exacte dont Oole doit être prononcé n'a pas encore été décidée, mais le linguiste amateur Derbert Monfreese explique que le nom de l'entreprise devrait rimer avec « hooole » et le son des haut-le-cœur.
Malgré le changement de marque massif requis, les initiés d'Oole seraient ravis du changement. « Je n'ai jamais aimé la lettre « G » de toute façon », a déclaré Gary G. Giggs, porte-parole d'Oole. « Comme le raconte l'histoire, le nom d'origine était censé être « Oole » de toute façon, c'est du français pour quand on est surpris par un très grand nombre, mais ils l'ont mal orthographié comme Google et le nom est resté. Je serais donc heureux de revenir au nom d'origine. Je dis, Olé ! »
Parmi les premiers candidats au contrôle de la lettre « G » figurent Apple, qui parle depuis longtemps de se rebaptiser Gapple, et le moteur de recherche de Microsoft « Bing », qui est tout simplement heureux d'être impliqué.
Si cette opération se concrétisait, il s'agirait de la plus grande rupture antitrust depuis que « Llama Zone » a été obligée de vendre les lettres « L » et « E » ainsi que sa division de zoo pour enfants de lamas pour se concentrer uniquement sur les achats en ligne sous le nom d'« Amazon ».
